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nation

  • Piloter l'économie nationale

    Affranchissons-nous de cette mondialisation économique à marche forcée. Celle-ci est une calamité pour toutes les nations qui ont réussi à bâtir un système social un peu avancé.

    Sans règles communes, la mondialisation économique est juste une bénédiction pour tous ceux qui veulent remettre en cause les acquis sociaux obtenus dans les Etats démocratiques. Les produits et services exposés à la concurrence internationale sont réalisés là où les contraintes sociales sont les plus faibles.

    Les Etats démocratiques sont coincés, la peur du chômage les incite à entrer dans la course infernale au moins disant social.

  • Le déséquilibre de la mondialisation

    La mondialisation politique. L’avènement d'une économie mondialisée sans une politique mondialisée crée une prise de pouvoir des acteurs économiques dominants aux dépens des acteurs politiques.

    Ne l’acceptons pas. Le collectif est en danger. Il est temps de prendre au sérieux la politique.

    Réduisons le déficit politique de la mondialisation en freinant son volet économique et en accélérant son volet politique.


  • la gauche et la nation

    Iconoclaste. D'habitude, l'idée de nation est plutôt portée par la droite, et la gauche préfère chanter l'internationale. La situation économique pourrait nous amener à complètement inverser cette tendance. En effet, je crois que la nation est la seule alternative à une mondialisation économique qui pousse au moins disant social et fiscal, c'est-à-dire à droite toute.

    La logique économique actuelle voudrait que la gauche utilise la fibre nationale. Mais elle n'a pas été éduquée dans ce sens. D'où son impuissance et ses échecs répétés. A l'inverse, l'extrême-droite nationale en vient à tenir des discours de protection sociale, en cohérence avec l'apport possible de la nation, mais en opposition avec son positionnement habituel de droite dure.

    La gauche espère se sortir de ce malaise idéologique en misant sur l'Europe. Je n'y crois plus. L'Union européenne est partie trop loin dans la mauvaise direction. Celle du refus de toute intervention dans l'économie, de tout protectionnisme, et d'une démocratie au rabais à la solde des lobbies financiers et des experts-fonctionnaires.

    François Hollande, si tu gagnes au second tour, et je le souhaite, bon courage !