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Autogestion

Et si on se décidait à choisir l'autogestion dans les entreprises ?

Le capitalisme devient dangereux, surtout avec la mondialisation. Le moins disant social en obsession, avec le chômage structurel en argument pour sa domination...

La démocratie est en danger.

Mais on peut se passer du capitalisme, en implantant justement la démocratie dans les entreprises. La meilleure défense, c'est l'attaque.

Pourquoi pas ? 

On peut démarrer ce post-capitalisme en France.

Mais en douceur, en remboursant les capitalistes, en transformant leur capitaux en dettes à long terme, sans intérêt financier mais quand même..

Il existe déjà des réussites incontestables d'entreprises en autogestion, çà marche. Encore à petite échelle (Chèques-déjeuner, Arcome, Alternatives économiques, toutes les SCOP), mais les tests sont concluants.

Certes, cela va secouer un peu. Mais en transformant les banques en service public, c'est contrôlable.

Allez, du nerf que diable !

Madre, quelle dépression générale des esprits !

Je déclare ouvert le temps de la démocratie dans les entreprises !

Commentaires

  • 1ère chose à faire : sortir de l'Union "Européenne" (car tout ce que vous voulez faire sera interdit par les directives de Bruxelles, et d'abord par la fameuse "constitution " européenne) c'est à dire le programme de François Asselineau, préliminaire indispensable à tout effort de renaissance démocratique et de salut de notre pays (et de ses habitants) http://www.u-p-r.fr/
    2me : rendre à la banque de France son privilège de financer le budget par des avances sans interêt.

    à part ça vos propositions sentent un peu le "bizounours", je crains que rien ne sera possible sans conflit et rapport de force, on peut oui jusqu'à un certain niveau construire des trucs comme ça (modestes !) dans son coin en marge, mais déjà au niveau où ça s'est passé en Argentine, encore modeste ! quelques centaines d'entreprises par-ci par là, et uniquement des ui avaient fait faillite, il a eu conplit, affrontement avec la police, procès,mobilisations populaires.

  • Dans mon esprit, l'objectif est de convaincre une majorité de franchir ce pas. Une fois cet objectif atteint, le rapport de force devient favorable.

    La critique de "bisounours" devient une rengaine lassante et bien d'époque. Elle est juste un prétexte pour ne rien vouloir et ne rien faire.

    Quant à l'Union Européenne, pour ce qu'il en reste....

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