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  • Informer les citoyens

    Nous ignorons l’essentiel des moyens et des résultats obtenus par nos différents services publics. L’information des citoyens sur leur collectif est un domaine bien étrange, une belle ressource inexploitée.

    Le coût de cette information est raisonnable et le bénéfice pour la démocratie est considérable. Mais la demande des citoyens est bien faible. Le problème ne se situe pas dans la production et la diffusion de cette information.

    Ce qui fait défaut est la maturité des citoyens, leur difficulté à percevoir les bénéfices de cette information, de cette éducation.

  • Les bâtisseurs du collectif

    Adoptons en politique l'attitude de l'ingénieur, de l'architecte.

    Créons une rupture par rapport à une tradition beaucoup trop littéraire, portée sur les beaux discours, capable de démontrer tout et son contraire.

    L'heure est aux bâtisseurs du collectif. Innovant, radical, iconoclaste, le projet Egalibre a cette ambition.

  • Les services publics

    Les services publics. Remplaçons les idéologies de gauche et de droite par le pragmatisme et l'intérêt général.

    Les entreprises privées et les services publics sont à la fois complémentaires et en concurrence.Tout est envisageable.

    Dans l’intérêt général, construisons un secteur bancaire en service public intégral, un service public du logement intégré et puissant, ou encore un service public plus étendu dans le domaine de la santé.

  • Le déséquilibre de la mondialisation

    La mondialisation politique. L’avènement d'une économie mondialisée sans une politique mondialisée crée une prise de pouvoir des acteurs économiques dominants aux dépens des acteurs politiques.

    Ne l’acceptons pas. Le collectif est en danger. Il est temps de prendre au sérieux la politique.

    Réduisons le déficit politique de la mondialisation en freinant son volet économique et en accélérant son volet politique.


  • La révolution du travail

    Notre rapport au travail est imprégné par notre histoire qui date d’avant les révolutions technologiques. Nous n'avons pas encore pris la mesure de celles-ci.

    Pour produire notre nourriture, dans un pays comme la France qui n'est pas une exception, le temps de travail humain nécessaire est 20 fois moins important qu'il y a deux siècles. Ce fantastique progrès, nous avons du mal à l’assumer.

    Inventons un système qui autorise le partage des bénéfices de nos révolutions technologiques. Avec toutes nos capacités, la misère n’est plus tolérable.