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  • les deux utopies, la bonne et la mauvaise

    Je regarde le mot "utopie" dans le petit Larrousse. Le mot a deux définitions. "Société idéale mais imaginaire, telle que la conçoit et la décrit un auteur donné." Mais aussi "Projet dont la réalisation est impossible."

    La deuxième définition permet de crucifier un projet. La première définition est plus neutre et plus ouverte. La réalité peut être le fruit de l'utopie. On l'a vu avec la démocratie, le progrès technique, la reconnaissance de l'égalité des femmes et la suppression de la peine de mort, pour citer quelques exemples. 

    Aujourd'hui, l'utopie agit comme un repoussoir. L'utopie communiste est passé par là... Plan B anticapitaliste et libéral est utopique dans le sens où il s'agit bien d'un plan encore imaginé et virtuel, mais il ne prétend pas à une société idéale, il veut juste remonter un peu le niveau politique général. Et dire que sa réalisation est impossible mérite d'être démontré.

    Et puis où est l'utopie impossible aujourd'hui ? N'est-elle pas plutôt de croire que le système actuel (plan A) va résoudre les défis de notre temps ?

     

  • concession numéro 1

    Si nous supprimons les revenus capitalistes, beaucoup trop de capitaux vont partir. La fuite des capitaux rend impossible l'anticapitalisme, fût-il libéral. Cet argument est sans doute le plus solide et le plus réaliste contre mon projet d'anticapitalisme libéral. Il interroge sur la réalité de la politique et de la démocratie. La démocratie si l'argent est d'accord en quelque sorte. Mais, par rapport à mon plan B actuel, et avant qu'il soit encore lu...., je propose une première concession. Déjà !

    Jusqu'à un million d'euros de capitaux immobilisés à la banque par personne, je propose une rémunération du capital de 5% par an, soit jusqu'à 50 000 euros de revenu annuel, soit plus de six fois le plancher social proposé. Voilà de quoi convaincre, je l'espère, la majorité des "forces vives".

  • Démarrage du blog

    Ah le plaisir du premier blog quand vous savez que personne ne va vous casser les pieds par ses commentaires ! En tout cas pas tout de suite. J'ouvre un blog car je sors un livre dans un mois et j'ai envie d'assurer le service après-vente, voire l'avant-vente.

    Plan B anticapitaliste et libéral est un livre politique qui se veut tonique et pertinent. L'est-il ?

    En ces temps où le duel annoncé Royal/Sarkozy pour la présidentielle tient en haleine les foules (??), ce livre n'est-il pas un peu trop décalé ? Pour ceux qui dépriment en 2007, je leur propose de rêver à 2012.

    Bon, alors, qui l'a lu à part mon éditeur et son attachée de presse ?

    Ce sont vos commentaires qui vont mener le débat de ce blog.