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politique - Page 4

  • Vive l'assistanat !

    La relation au travail est au cœur de la révolution politique qui est devant nous. Avec la montée en puissance des machines, le travail individuel n’est plus une condition indispensable pour survivre. Le travail reste indispensable, mais seulement dans son approche collective.

    Une part de plus en plus importante du travail réalisé est le fait des machines. Il est légitime que tout le monde puisse en bénéficier car les machines sont le fruit de découvertes scientifiques et d'inventions géniales étalées sur plusieurs siècles. Des richesses qui appartiennent à tout le monde. Je crois que donner de quoi vivre à tous est la décision la plus intelligente qui puisse être. Vive l’assistanat !

    Une sécurité économique généralisée nous apportera de la sérénité, un bien dont nous manquons. Il est également bénéfique à une économie d’avoir à disposition de son marché du travail un nombre important de remplaçants, formés et en bonne santé, prêts à travailler pour gagner plus qu’un revenu de solidarité. 

    L'assistanat, il existe déjà en partie, maintenant il est temps de l'assumer.


  • Elections italiennes

    Les italiens vont bientôt pouvoir voter, pour choisir leurs gouvernants. A lire les médias français, les italiens vont avoir à choisir entre Silvio Berlusconi et Mario Monti. Quelle alternative ! Pauvres italiens.

    Le premier, Berlusconi, ridiculise et humilie l'Italie par des comportements et des déclarations aussi lamentables que minables. Le second, Monti, veut gouverner mais il aurait préférer se dispenser de faire une campagne électorale.

    N'y-a-t-il rien d'autre à l'horizon de la démocratie italienne ? On va aller faire une prière à l'église pour espérer un miracle. Pour les italiens, c'est important...

  • Autogestion pragmatique

    Comme l'écologie à ses débuts, l'autogestion ne bénéficie pas d'une bonne réputation. Elle est trop associée à un égalitarisme utopique, dans lequel les différences de revenus et le principe même d'une direction sont systématiquement refusés.

    Créons une autogestion pragmatique. L'objectif est de donner aux travailleurs le pouvoir de nommer la direction de leur entreprise. Organiser des élections, de façon régulière, pour nommer des représentants à la direction de ces entreprises. Mettre en place un usage partagé des moyens de production.

    Les actuels actionnaires doivent être dédommagés, en transformant leur capital en une dette remboursable sur le long terme. Remboursons les actionnaires, il n'est pas sain que l'autogestion se transforme en vol organisé.


  • Sortie du capitalisme

     

    La sortie du capitalisme a été revendiquée par les régimes politiques dits communistes. Mais l'alternative n'a pas été la démocratie.

    Elle a été un Etat autoritaire à parti unique, avec une absence de liberté des acteurs économiques. Les travailleurs n'y ont eu ni pouvoir ni liberté. L’expérience s’est transformée en échec.

    Mais cette tentative ratée de sortie du capitalisme ne signifie pas que le capitalisme est irremplaçable.

  • Sortie du capitalisme

     

    Donnons le pouvoir des entreprises à ses travailleurs. Les conditions du succès sont réunies.

    La démocratie s'installe et progresse, lentement mais sûrement. L'instruction des citoyens n'a cessé de se développer. Et nous vivons une fantastique révolution de nos moyens de communication et d'information.

    Nous sommes mûrs pour introduire la démocratie dans l’entreprise, c’est-à-dire l'autogestion.